Musique Traditionnelle du Japon
菊水湖風
Disques Vogue - CLVLX 326
トラック番号 | タイトル | 漢字 | 長さ | アーティスト | |
1 | Ajikan (Itchoken) | 阿字観 | 06'10 |
尺八: 菊水湖風 | |
AJIKAN est une oeuvre bouddhique d'un compositeur inconnu du XII ou XIIIeme siècle. L'idée de la composition, tirée du Bouddhisme Zen, veut évoquer la notion de nèant contenue dans cette philosophie. Kofu Kikusui emploie pour jouer cette pièce un shakuhachi de 1 m 20 taillé dans le bois kiri (pawlonia). | |||||
2 | Sekiheki no Fu | 赤壁の賦 | 11'25 |
尺八: 菊水湖風 | |
SEKIHEKI NO FU est une prière bouddhique que Kofu Kikusui a composée d'après une pièce ancienne de style traditionnel d'origine chinoise. Le musicien utilise ici deux shakuhachis de longueurs différentes. Le second instrument est tenu par la main gauche tandis que la droite agite une petite cloche bouddhique. | |||||
3 | Inori | 祈り | 02'45 |
尺八: 菊水湖風 | |
INORI, composition religieuse elle aussi, est une invocation dédiée aux dieux shinto. Kofu Kikusui emploie ici une petite flûte de 20 centimètres appelée « kikubue ». | |||||
4 | Midare Rinzetsu | 乱輪舌 | 07'45 |
箏: 野田 紀子 箏: 西村 弥生 | |
MIDARE, interprétée par Noriko Noda et Yayoi Nishimura au koto, est, avec Rokudan et Hachidan, l'une des pièces les plus célèbres et les plus anciennes du répertoire de cet instrument. Elle appartient à l'école de Yatsluhashi. | |||||
5 | O Bon Odori | 盆踊り | 01'55 |
尺八: 菊水湖風 | |
0 BONODORI. Utilisant la flûte traversière hoteki, Kofu Kikusui joue un air destiné à la fête O Bon, fête des morts célébrée dans tout le ,Japon au milieu de l'été. | |||||
6 | Chidori no Kyoku | 千鳥の曲 | 14'30 |
尺八: 菊水湖風 箏: 西村 弥生 歌: 西村 弥生 | |
CHIDORI NO KOKYU. Pièce célèbre pour koto, cette composition peut être exécutée, comme c'est le cas ici, par l'ensemble chant, koto, shakuhachi. Chidori est le nom d'un oiseau familier des côtes japonaises. Le chant décrit la beauté de la nature au bord de la mer. | |||||
7 | Itsuki no Komoriuta | 五木の子守唄 | 04'00 |
尺八: 菊水湖風 箏: 西村 弥生 胡弓: 野田 紀子 | |
ITSUKI NO KOMORI UTA. Le disque s'achève par une berceuse, dont le thème, très simple, exposé par le koto, est repris successivement par le shakuhachi, par le kokyu puis par les trois instruments ensemble. |